Un DÉPUTÉ RN pulvérise APOLLINE de MALHERBE sur sa PROPAGANDE anti-RN
Dans une confrontation explosive, un député du Rassemblement National (RN) a vivement réagi aux accusations d’Apolline de Malherbe sur la prétendue complicité du parti avec la propagande russe. Lors d’un échange sur RMC, le député a dénoncé les allégations du Washington Post, qui prétend que le RN serait un relais de la propagande du Kremlin en France. “Rien n’est sourcé, rien n’est cité”, a-t-il martelé, qualifiant ces accusations de “gratuities” et de “manque de sérieux journalistique”.
Le député a insisté sur le fait que le RN n’a aucune “complicité active” avec des puissances étrangères, affirmant que les accusations relèvent plus de la rhétorique politique que de preuves concrètes. Il a rappelé que la DGSI n’a trouvé aucune ingérence organisée ou systémique du RN par des acteurs étrangers, une position qui contredit les allégations véhiculées par certains médias. “Les faits parlent d’eux-mêmes”, a-t-il déclaré, appelant à une analyse objective plutôt qu’à des amalgames infondés.
Face à ces accusations, le député a également critiqué l’utilisation de l’intelligence artificielle par le parti Renaissance pour déformer les propos de Marine Le Pen, soulignant l’indignité de telles méthodes à l’approche des élections européennes. “C’est une attaque désespérée d’un gouvernement qui n’a plus d’arguments”, a-t-il ajouté, appelant les médias à respecter les principes de la Charte des journalistes et à éviter de propager des informations non vérifiées.
Dans un climat politique tendu, cette dispute met en lumière les tensions croissantes entre le RN et le gouvernement, alors que les élections européennes approchent à grands pas. Les accusations de propagande et de manipulation se multiplient, révélant un paysage politique en pleine ébullition. Les enjeux sont clairs : la bataille pour l’opinion publique s’intensifie, et chaque camp cherche à affirmer sa légitimité face à des accusations de plus en plus virulentes.