Philippe Tanguy a frappé fort aujourd’hui à l’Assemblée nationale, mettant à jour l’hypocrisie des discours écologistes. En direct, il a dénoncé Sandrine Rousseau, l’écolo en chef, pour ses incohérences sur les énergies renouvelables. « Arrêtez de lever les yeux au ciel ! » a-t-il lancé, pointant du doigt l’importation massive de panneaux photovoltaïques chinois, à hauteur de 21 milliards d’euros par an, produits dans des conditions écologiques douteuses.

Tanguy a souligné l’absurdité des choix politiques, alternant entre le soutien et l’abandon des énergies renouvelables. « Vous êtes confrontée à vos incohérences ! » a-t-il martelé, insistant sur le fait que le nucléaire a décarboné l’économie occidentale bien plus efficacement que les éoliennes ou le photovoltaïque. Il a également critiqué l’absence des députés écologistes lors des votes cruciaux, interrogeant leur engagement réel pour l’écologie.

« Où sont vos députés ? » a-t-il demandé, soulignant que les belles paroles ne suffisent pas face aux défis environnementaux. Tanguy a appelé à des décisions sérieuses, loin des promesses vides. Son intervention, franche et percutante, remet en question la légitimité des discours écologiques qui ne prennent pas en compte les réalités économiques et sociales.

Cette prise de parole audacieuse a secoué l’Assemblée, révélant une fracture profonde dans le débat sur l’écologie. La question demeure : jusqu’où les politiques écologiques peuvent-elles aller sans se confronter à la réalité de leur impact ? Les citoyens attendent des réponses claires, et Tanguy, en dénonçant l’hypocrisie, a ouvert un débat urgent sur l’avenir de notre planète.