**MARION MARÉCHAL pulvérise MATHILDE PANOT sur le RACISME anti-BLANC**

Dans un débat explosif qui a secoué les réseaux sociaux, Marion Maréchal a accusé Mathilde Panot de minimiser le racisme anti-blanc, déclenchant une tempête médiatique. Maréchal, candidate des “amoureux de la France”, a vivement critiqué Panot, la qualifiant de représentante de ceux qui détestent la nation et des islamistes. “Vous n’avez même pas eu un mot pour Thomas”, a-t-elle lancé, évoquant un jeune homme victime d’une agression raciste, tandis que Panot exprimait sa préoccupation pour un autre cas d’agression.

Maréchal a dénoncé la “banalisation de l’extrême droite” et a insisté sur le fait que le racisme anti-blanc existe, pointant des statistiques qui montrent une hausse des actes xénophobes. “Vos mots ont des conséquences”, a-t-elle averti, accusant les députés macronistes et du Rassemblement National d’alimenter les préjugés xénophobes par électoralisme.

Le ton s’est intensifié lorsque Maréchal a évoqué des agressions violentes, rappelant que la menace de l’islamisme radical est bien plus pressante que celle de l’extrême droite. “Les Français n’ont pas peur de l’ultra droite, mais de la violence islamiste”, a-t-elle affirmé, mettant en lumière des chiffres alarmants sur les attentats islamistes.

Panot, sur la défensive, a tenté de rediriger le débat vers la violence politique, mais Maréchal a maintenu son cap, insistant sur l’urgence de traiter le racisme anti-blanc avec la même rigueur que les autres formes de racisme. “Je suis la candidate des policiers et des gendarmes”, a-t-elle conclu, tandis que la tension montait entre les deux camps.

Ce débat, qui met en lumière des fractures profondes dans la société française, continue de faire résonner des échos dans l’arène politique, alors que les tensions raciales et les discours de haine s’intensifient dans le pays. Les réactions affluent, et la question du racisme, dans toutes ses formes, reste au cœur des préoccupations nationales.