Geoffroy dénonce avec véhémence l’accord négocié entre Ursula Von Der Leyen et Donald Trump, qualifiant cette entente de “déséquilibrée” et de “capitulation” de l’Union européenne face aux intérêts américains. Lors d’une analyse incisive, il souligne que les entreprises européennes devront désormais s’acquitter d’une taxe de 15 % pour exporter vers les États-Unis, tandis que des secteurs cruciaux comme l’aéronautique sont épargnés. Cet accord, qui abandonne les menaces de surtaxes sur les automobiles, impose aussi des engagements massifs d’importation de gaz américain et une hausse des dépenses militaires envers les États-Unis.
La classe politique française s’insurge contre cette décision. Le Premier ministre François Baou évoque un “jour sombre” pour les valeurs européennes, tandis que le RN et le PS dénoncent un fiasco économique. Marine Le Pen et d’autres leaders politiques critiquent la proximité du gouvernement avec Trump, appelant à une défense des intérêts français. Geoffroy rappelle que cet accord renforce la dépendance de l’Europe vis-à-vis des États-Unis, mettant en péril l’indépendance stratégique du continent.
Les réactions fusent : Manuel Bompard de la France insoumise appelle à une résistance face à cette “soumission”, tandis que Bruno Retaillot des Républicains parle d’une “très mauvaise nouvelle” pour l’Europe. Les sondages américains montrent que 56 % des citoyens désapprouvent cet accord, le percevant comme une concession inacceptable de Trump. Alors que l’Europe semble se liquéfier sous la pression des États-Unis, Geoffroy lance un cri d’alarme : “Nous devons défendre nos intérêts avant qu’il ne soit trop tard.” La situation est critique, et l’avenir de l’Europe est en jeu.
