🔆 “Tu es un homme et…” : La guerre entre Brigitte Macron et Candace Owens est lancée.

**Titre : La guerre entre Brigitte Macron et Candace Owens éclate : plainte pour diffamation déposée aux États-Unis !**

Dans un tournant explosif, Brigitte Macron et son époux, Emmanuel Macron, ont décidé de porter plainte contre l’influenceuse américaine Candace Owens pour diffamation, déclenchant une tempête médiatique internationale. Cette action survient après que Owens a relayé une infox dévastatrice concernant l’identité de genre de la première dame française, alimentant des rumeurs déjà persistantes sur les réseaux sociaux.

La plainte a été déposée le 23 juillet devant un tribunal du Delaware, une démarche rare et audacieuse qui vise à obtenir justice sur le sol américain, là où les déclarations controversées ont été diffusées. Les avocats des Macron accusent Owens d’avoir intentionnellement propagé des mensonges dans le but de nuire à la réputation de Brigitte, une accusation qui pourrait mener à un procès très médiatisé sur des enjeux de liberté d’expression et de désinformation.

Ce développement intervient dans un contexte déjà tendu pour Brigitte Macron, qui a récemment perdu un procès en France pour cyberharcèlement, visant des individus ayant proféré des attaques personnelles à son encontre. La première dame, visiblement affectée par les rumeurs répétées, a exprimé son indignation face à l’impact psychologique de ces atteintes sur son identité et sa dignité.

Emmanuel Macron, de son côté, soutient fermement cette initiative judiciaire, considérant qu’il s’agit non seulement d’une défense de leur intégrité personnelle, mais aussi d’une riposte politique contre le phénomène croissant de la désinformation transnationale. Avec cette plainte, le couple présidentiel envoie un message fort : la lutte contre la désinformation ne connaît pas de frontières.

La bataille judiciaire entre les Macron et Owens est désormais lancée, et les enjeux sont plus élevés que jamais. Restez connectés pour des mises à jour sur cette affaire qui pourrait redéfinir les limites de la liberté d’expression à l’ère numérique.