JP. TANGUY détruit un COMMUNISTE sur L’IMMIGRATION

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**JP. TANGUY DÉTRUIT UN COMMUNISTE SUR L’IMMIGRATION : UN DÉBAT ENFLAMMÉ À L’ASSEMBLÉE**

Dans un échange houleux à l’Assemblée nationale, Jean-Philippe Tanguy, député du Rassemblement national, a riposté avec force aux arguments de la gauche sur l’immigration, provoquant une onde de choc parmi les élus. Le ton était à son comble alors que Tanguy dénonçait l’incohérence des positions communistes, affirmant que leur vision de l’immigration ne tient pas compte des réalités économiques et sociales actuelles.

« L’immigration n’est pas une chance pour la France », a lancé Tanguy, citant Bruno Rotaillot, ancien ministre de l’Intérieur. Il a insisté sur le fait que l’aide au développement, plutôt que de réduire les flux migratoires, les amplifierait. « Si nous supprimons cette aide, l’immigration sera multipliée par dix », a-t-il averti, ajoutant que le gouvernement actuel ne propose aucune solution concrète face à ce phénomène.

Le député a également mis en lumière le paradoxe de l’assimilation, critiquant la gauche pour son incapacité à intégrer les immigrés dans le tissu économique français. « Vous refusez l’accès à l’emploi et au logement pour ceux qui souhaitent contribuer à notre société », a-t-il déclaré, soulignant que cela ne fait qu’encourager le repli communautaire.

L’assemblée, captivée par cette joute verbale, a vu Tanguy exiger des mesures concrètes : rétablissement des frontières, fin de la « pompe aspirante » des aides sociales, et une politique migratoire inscrite dans la Constitution. Alors que le débat s’intensifiait, il a rappelé aux élus que la France ne peut pas accueillir « toute la misère du monde » et que la priorité doit être donnée aux citoyens français.

Ce débat crucial fait écho à des préoccupations croissantes sur l’immigration en France, un sujet brûlant qui continue de diviser la classe politique. Les enjeux sont clairs : un avenir migratoire à redéfinir, entre intégration et contrôle des frontières. La tension était palpable, et les conséquences de ces échanges pourraient résonner bien au-delà de l’Assemblée.